Violet A. Abrams-Lewis Membre
Messages : 35 Date d'inscription : 09/01/2012
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| Sujet: Violet A. || Mermaid Hotel. (finish) Lun 9 Jan - 13:43 | |
| Violet Adriel Narcisco Abrams Lewis “You call me lavander, you call me sunshine, you said take it off. Take if offt. ” Lana Del Rey « Cher Journal,
Le 14 Avril, j'aurais 19 ans. Pour le moment, je suis Dans une relation compliquée et mes attirances sont toujours les femmes &les hommes. J'habite actuellement à Bristol, mais je viens de Londres. Je rêve un jour d'être photgraphe. C'est cool comme métier non ? Enfin, pour le moment, je ne suis qu'un rêveuse
Puisque je m'inscris sur un forum de RPG, je dois donner mon identité Violet Adriel Narcisco Abrams Lewis et j'incarne mon personnage grâce à Astrid Bergès Frisbey/ Regarde comme je suis beau dessous ! Tout ça grâce à (c) JAM ART » Cher journal, J'ai rencontré un jeune homme hier, dans la nuit, il y a quelques heures même. Ce fut, étrange, et intense, c'était la première fois que je ne voulais qu'il parte, mais il est partis, il a fuit, car je sais, car je sais qu'il a sentit cette chose. Il me semble. C'était une soirée comme les autres, l'alcool était de l'eau dans nos verres, nous buvions à grande gorgée, nous étions des fous de vouloir tenir en ces lieux, mais nous étions jeunes, j'ai 18 ans, vous savez, je ne suis pas si âgée que ça. Je regardais un peu partout, et puis j'ai croisé son regard. Terrible yeux, regardez moi ce visage magnifique. Homme aux yeux vides, mais qui donnait une intensité au vide qui me bouleversait. Homme de tout, et homme de rien, il s'approcha de moi, avec un sourire charmeur et une bouteille de vodka enjôleuse. Il s’assit, on m'avait de lui qu'il avait fait les pires coups au filles, leur faire croire des choses terribles, les baiser ou non, les laisser frustrée dans une chambre d'hôtels. C'était lui.
Cher Journal, Je ne suis pas habituée à tenir ce genre de chose. Mais aujourd'hui, je me sens dans l'obligation d'écrire ce que je suis en train de vivre, ce qu'il m'arrive, afin de garder une trace, et pouvoir me laisser aller aux mots. Car en ce jour, j'ai le coeur brisé. Comme quasiment chaque mois, chaque semaine de chaque minute, car ce type me tue chaque jour un peu plus. Chaque jour, il me fait souffrir, mais chaque jour, je me retrouve à sourire dans ses bras, à lui dire qu'il est le seul et l'entendre me dire la même chose. Mais tout ceci est si nouveau pour nous, que nous devons ressentir nos sentiments en nous faisant souffrir. Je suis celle qui souffre en silence, qui de son côté auto destructeur cherche l'oubli dans les drogues, l'alcool et les coucheries, car s'il me trompe je le trompe, car s'il me fait souffrir, je le fais souffrir, nous ne sommes que des jeunes personnes et c'est pour cela que nous refusons de nous dire que nous nous sommes trouvés. Ce type me tue. En ce matin de septembre, en ce jour maudit, ce type, m'a annoncé qu'il m'avait trompé. Encore une fois, avec une des pétasses de la banlieue de Bristol, je ne supporte plus ces filles qui se croient tout permis, sous prétexte de je ne sais quelle paire de seins. Je les détestait, toutes. Je pleurais, et pleurait encore, déformait mon visage quand il m'annonça qu'il m'aimait, et qu'il ne savait pas ce qui lui avait pris. Car il me faisait souffrir un peu plus à chaque fois, car il était tout ce que j'avais toujours rêvé d'avoir, il était avec moi, attentionné, mais ses démons le rattrapait, comme ils allaient me rattraper à mon tour. Ce soir, je ne serais que l'ombre de moi même. Je le sais. Et ce soir, et ce soir, je serais aussi souriante qu'au premier jour de notre rencontre.
Cher Journal,
Je crois que j'ai besoin de papier et d'encre pour pouvoir dire des choses que je suis incapable de dire dans ma vie de tous les jours. Mais aujourd'hui, je vous annonce le divorce de mes parents. Terminé les hurlements, terminée les disputes pour rien, bonjour calme et tranquillité, bonjour vie normale, il était temps qu'il se rende compte. Ma mère est venue me voir, en me disant que mon père allait vivre à Bristol, je vais suivre mon père. Je ne supporte plus Londres. J'ai envie de ... beaucoup de nouvelles choses, et à Londres. Beaucoup d'enfant aurait du mal à accepter le divorce d'un des seuls modèles de couples que l'on pourrait avoir. Moi et mon frère avions donc suivi mon père, car ma mère n'était une mère modèle, même si je l'aimais, elle avait trop l'âme d'une hippie. Mon frère est plus âgé, enfin bref. Je suis donc arrivé à Bristol avant hier, nous habitons dans une quartier très huppé, très bourgeois. J'aime la vue que nous avons, j'aime le gris du ciel de l'Angleterre. J'aime la mélancolie de ce pays. Je ne sais pas, c'est peut être la situation qui me fait tant aimé ce qu'il y a autour de moi, je ne vis pas mal ce qu'il m'arrive. Je le vis bien. Demain est un autre jour.
Moi ? Physiquement ? Je tiens de ma mère. Je tiens complètement de ma mère. Les longs cheveux bruns, la bouche pulpeuse et les yeux en amandes, je suis la portrtait de ma mère, enfin en mieux tout de même. Allons, allons, ma mère à 50 ans tout de même. Je suis la fille qui dans les rues de Londres vous fait retourner, car je possède de longues jambes et un regard enjôleur. J'aime jouer de mes atouts, mais je n'en fais jamais trop, j'ai une forme de caractère qui fait que je ne drague pas, je séduis, par des gestes, des actes, je n'aime pas l'usage des mots quand il sont superficiels. Je suis tatouée à plusieurs reprises, sur la hanche, dans le creux du coupe sur la clavicule, en dessous de la fesse, sur la côte gauche, dans le cou. Vous savez, ma mère est une artiste, elle peint et fait de la photographie, j'ai hérité de son côté artiste, et j'en fais part au monde entier. J'aimerai être photographe, non pas pour la beauté d'un instant, mais pour être capable de capturer cet instant. La beauté d'un moment dans une simple photo.Je fais de la peinture. J'aime les choses simples. Mais j'ai un côté auto destructeur, un côté maso aussi. Ce qui me rends instable et définitivement impossible à vivre, dans la vie, je suis excessive, je suis excessive au possible, car je veux ressentir la cadeau qu'est la vie. Et je suis indépendante, du moins je l'essaye et quand on entre dans mon monde pour m'en voler des parties, je panique, je stresse. Je suis la fille que l'on dit jolie, mais que l'on dit Folle. Je suis tout ceci et pourtant si peu de choses. Je m'appelle Violet Adriel Narciso Abrams-Lewis, je suis la fille de Moïra Antonia Abrams et de William Jack Lewis, née à Londre le 14 avril, dans une superbe clinique privée. Je suis la cadette, j'ai un frère aîné appelé Priam. Il a 21 ans maintenant, il est devenu un véritable et très attirant petit con pour la plupart des demoiselles anglaises. Il fait des ravages, mais ne vous fier pas à ses airs envouteurs et charmeur, derrière ses traits se cachent la souffrance pour vos petits cœurs. Mais je vous aurais prévenues, et j'en ai prévenue beaucoup. Je n'ai pas une histoire que l'on dira d'extraordinaire, elle est relativement banale, jusqu'à à ma rencontre à Bristol de celui qui me brisera morceaux par morceaux.
J'ai vécu à Londres toute ma vie, j'ai fait de nombreux voyages, surtout entre mes 15 ans et maintenant. Le Canada, le Brésil, les Etats Unis, La France, l'Espagne, Le Maroc, La Japon, la Tunisie, La Mongolie ( ne me demandez pas pourquoi ), Les Pays Bas, la Suède, et la Finlande. J'aime les voyages, et j'en rapporte toujours beaucoup de choses, des photographies, je pars souvent avec mon frère avec qui je partage une complicité extraordinaire, je reconnais en mon frère un être d'exceptions malgré son côté briseur de cœur, mais il a toujours été là pour moi. Je suis la petite sœur, il est le grand frère, ce qui le charge de beaucoup de choses. J'ai donc vécu avec mon frère sans avoir d'énorme querelles. J'ai été envoyée dans la même école que lui, nous avons suivi le même parcours scolaire. Sauf qu'il est plus terre à terre et prends du côté de mon père qui est un très grand homme d'affaire, et moi je tiens de ma mère, une artiste sans attaches. J'aime cette vie de bohème qu'a eu ma mère, mais je ne vois pas faire les choix qu'elle choisit de faire. Lors du divorce de mes parents, j'ai suivi mon père à Bristol, il fait souvent les aller et retours entre Londres et notre nouvelle ville, non pas qu'il n'aime pas Bristol, mais mon père doit travailler et le travail à Londres n'est pas ce qu'il manque, surtout pour sa chaîne de restaurant.
J'ai vécu dans ce que l'on appelle une famille riche. Et avec touts les privilèges qui vont avec. Les écoles privées, les collèges privées et le lycée privé avec toute la crème de la crème Londonienne, on nous reconnaissait dans la rue à nos uniformes et nos sacs de créateurs en cuir. Nous étions justes des gamins après tout. J'ai appris l'art de la fête avec mon frère, qui lui est aussi excessif que moi dans la drogue, l'alcool et les filles. Sauf que lui n’éprouve de sentiments que pour les proches et pour celle qui pourrait le toucher en plein cœur, et pour l'instant il n'y en a pas eu. Nous avons déménagé donc, et j'ai rencontré ce type à une soirée. Il était aussi saoul que moi, aussi drogué que moi et pourtant il m'a envouté. Avec ses yeux qui en demandait tellement plus avec la vie. Il m'a piégée, enchaînée, volée, et charmée. Je ne suis que l'ombre de moi même. Je souffre quand il me fuit, et il souffre quand je le fuis. Avez vous déjà ressentis ce sentiment ? Celui qui vous fait souffrir au point qu'il pourrait vous tuer ?
Dis nous donc un peu plus sur toi : Mon pseudo sur la toile, c'est S., et dans la vie réelle Solène, j'ai 19 ans, mais 19 ans dans peu de temps et j'habite La Bretagne. Je trouve ce forum Je suis là c'est qu'il me plaît hahaha.. Je suis content d'avoir Je suis Seven T. Belle et Matteo L. Hummel sur Gossip Girl RPG Les fondatrices me demande un code. Je pense l'avoir trouvé Ok by Rosie' . J'aimerai dire un dernier petit mot Je cherchais un forum, tranquille et je me suis dis que je pourrais venir sur ce nouveau forum.
Dernière édition par Violet A. Abrams-Lewis le Lun 9 Jan - 14:50, édité 7 fois | |
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